Argos films

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Films dans la base

Portrait de mon père

Diane Baratier, 2009

À travers une journée de tournage, la personnalité et l’œuvre du réalisateur Jacques Baratier se dessinent.

Level five

Chris Marker, 1997

L’Histoire interactive, ou comment se prendre au jeu… Laura, en compagnie d’un interlocuteur invisible, doit terminer l’écriture d’un jeu vidéo consacré à la bataille d’Okinawa. Au fur et à mesure que Laura accumule témoignages et documents, ceux-ci commencent à interférer avec sa propre vie…

Junkopia

Chris Marker, 1981

Sur la plage d’Emeryville a San Francisco, des artistes non identifiés laissent quelques signes fabriqués avec ce que la mer abandonne.

Vive la baleine

Chris Marker, Mario Ruspoli, 1972

« Chaque baleine qui meurt nous lègue, comme une prophétie, l’image de notre propre mort. » Chris Marker

Deux ou trois choses que je sais d’elle

Jean-Luc Godard, 1968

« Elle », c’est la région parisienne, ses grands ensembles et le malaise qu’ils drainent… Un constat noir sur la perdition de la société industrielle… Portrait psycho-sociologique d’une jeune femme vivant dans un grand ensemble de banlieue.

Deux marseillaises (Les)

Jean-Louis Comolli, André S. Labarthe, 1968

À l’occasion de la campagne électorale pour les élections législatives de juin 1968 à Asnières, ce documentaire filme au jour le jour les élections marquées par les événements de Mai 68.

Deux ou trois choses que je sais d’elle

Jean-Luc Godard, 1967

Les transformations urbaines et l’histoire d’une jeune femme devenue prostituée.

Dix-septième parallèle (Le)

Joris Ivens, Marceline Loridan, 1967

Vie quotidienne en temps de guerre, sur le dix-septième parallèle, dans la zone « démilitarisée » qui sépare le Nord du Sud Vietnam. Ivens et Marceline Loridan, sa femme, ont vécu pendant deux mois la vie de ces paysans réfugiés dans les caves, cherchant à maintenir les gestes d’une vie normale. Ce film est l’un des plus importants tournés sur la guerre du Vietnam.

Petit chapiteau (Le)

Joris Ivens, 1963

Le petit chapiteau, c’est le regard attendri d’un poète sur « le plus petit cirque du monde » et son public d’enfants.

Jetée (La)

Chris Marker, 1962

Une catastrophe nucléaire a détruit toute vie humaine à la surface de la terre. Paris a été rayé de la carte. Les «  vainqueurs  » de cette guerre nucléaire cherchent le moyen de sauver la race humaine.

Regard sur la folie

Mario Ruspoli, 1961

En 1960, Mario Ruspoli décide de tourner un documentaire sur l’hôpital psychiatrique de St Alban en Lozère. Pari courageux, à une époque où la folie est un sujet tabou, totalement occulté par la société.

Chronique d’un été

Jean Rouch, Edgar Morin, 1960

Etes-vous heureux  ? Edgar Morin et Jean Rouch interviewent la france des années 1960. Le film est également un questionnement sur le cinéma.

Paris la belle

Jacques Prévert, 1959

Une rêverie des frères Prévert sur la beauté du Paris d’hier.

Hiroshima mon amour

Alain Resnais, 1959

En août 1957, à Hiroshima, une actrice française termine un film sur la paix. Elle s’éprend d’un architecte japonais le dernier jour du tournage. Ils ont vingt-quatre heures devant eux pour vivre cette passion fulgurante.

Lettre de Sibérie

Chris Marker, 1958

Sur les mêmes images trois commentaires différents sur le régime communiste : l’un élogieux, l’autre critique, le dernier n’ayant rien à voir avec la politique.

Broadway by Light

William Klein, 1957

Premier film de William Klein : promenade nocturne rythmée par le scintillement des néons de Manhattan.

Hommes de la baleine (Les)

Mario Ruspoli, 1956

Un film sur les derniers pêcheurs de baleine au harpon, une pratique que l’on pensait alors révolue depuis longtemps.

Dimanche à Pékin

Chris Marker, 1956

Un portrait de la chine moderne des années 50, à travers une ballade de Chris Marker dans les rues de Pékin.

Nuit et brouillard

Alain Resnais, 1955

Réalisé en 1955, le célèbre film d’Alain Resnais Nuit et Brouillard est resté le documentaire de référence sur la déportation. A l’aide de documents d’archives, il retrace le lent calvaire des déportés.

Désastres de la guerre (Les)

Pierre Kast, 1951

A partir d’une série d’eaux-fortes gravées par Goya entre 1810 et 1820, et après une ouverture presque champêtre, le film décrit la brutalité de la guerre.