Affiche du film

Des dérives de l’art aux dérivés du pétrole

Un film de Grégory Lassalle

 2012  Documentaire  Prise de vue réelle  46 mn  Couleur

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Dernière mise à jour : 20 septembre 2012

Alors qu’à Paris, les multinationales du pétrole, musées et autres institutions publiques célèbrent et valorisent la civilisation maya pré-hispanique, au Guatemala, les descendants de ces Mayas sont les premières victimes des politiques néolibérales. Entre autre sous la pression des compagnies pétrolières françaises, comme l’entreprise Perenco, et des projets touristiques.

Deux poids, deux mesures : le Maya ancien est-il plus intéressant que le Maya vivant ?

Des dérives de l’art aux dérivés du pétrole documente l’histoire du pétrole au Guatemala, pose la question de l’accaparement privé de la terre, des ressources et de l’histoire. L’extraction du pétrole guatémaltèque se conjugue avec l’extraction de la civilisation maya hors de son contexte historique et de la réalité des conditions de vie de ses descendants, éludant ainsi les injustices que subissent les populations locales.

(source : Cedidelp)

Le film dans la Base cinéma & société

Chemins d’accès :
Développement durable in Une seule planète, à protéger
Pollution in Une seule planète, à protéger
Défense de l’environnement in Une seule planète, à protéger
Rapports Nord/Sud in Le monde est-il une marchandise ?
Multinationales in Le monde est-il une marchandise ?
Projeté dans le festival :
Échos d’ici, échos d’ailleurs… sur les pas de Christophe de Ponfilly (Labstide-Rouairoux)

Pour aller plus loin

Rapport sur les conséquences sociales et environnementales des activités de l’entreprise Perenco Guatemala Limited. Publié par le Collectif Guatemala, avec le soutien des associations Terre des Hommes France et France Amérique latine.