Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand
Clermont-Ferrand – février
http://www.clermont-filmfest.com/
• Sauve qui peut le court métrage • La Jetée • 6 Place Michel-de-l’Hospital • 63058 Clermont-Ferrand cedex 1 • Tel : 04 73 91 65 73 • Fax : 04 73 92 11 93 • @ : info@clermont-filmfest.com
Le Festival du court métrage de Clermont-Ferrand est aujourd’hui la plus importante manifestation cinématographique mondiale consacrée au court métrage. En terme d’audience et de présence professionnelle, c’est le deuxième festival de cinéma en France après Cannes. Il est au cœur de nombreuses activités et missions menées toute l’année depuis La jetée par le collectif Sauve qui peut le court métrage.
Films dans la base
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Churchill, la ville des ours polaires
Annabelle Amoros, 2021
Tous les ans, au Canada, les ours polaires migrent vers la baie d’Hudson afin d’y chasser le phoque. Considérés à la fois comme prédateurs nuisibles et fascinations pour touristes, leur présence à Churchill, petite ville de 800 habitants, illustre singulièrement la complexité de notre rapport au monde sauvage.
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Pierre Schlesser, 2021
À travers la figure de son père décédé dans un accident de travail, Pierre Schlesser évoque son enfance dans un village de l’Est de la France. Ce film pudique, au lyrisme discret, est un véritable acte de foi dans la capacité du cinéma à rendre justice aux siens, ceux dont les corps ont été dévorés par la malédiction du labeur quotidien.
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Paul Mas, 2020
Julie n’arrive pas à s’intégrer dans son école. L’arrivée d’Émile, un enfant autiste, va changer la donne…
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Julien Goudichaud, 2020
Dans un Paris vidé de sa population, vidé de ses voitures, de son bruit et de sa pollution suite à l’une des plus grandes pandémies mondiales, il reste encore une partie de la population française qui n’a pas d’autre choix que de se confiner dehors. Jusqu’alors perçus comme des fantômes urbains, Sarah, Nelson et Katia nous présentent une réalité exacerbée par la situation. Comment continuer à survivre alors que le monde entier semble s’être arrêté ?
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Emmanuel Marre, 2018
Ce documentaire qui tient son titre du roman éponyme de Céline, est le récit d’une quête, épopée contemporaine de Pierre, jeune science-piste d’une vingtaine d’années qui se cherche. Il travaille en tant qu’auxiliaire de vie chez Francine, septuagénaire en fauteuil-roulant qui lui loue une chambre contre ses services. Pierre est mal à l’aise dans son corps, il n’arrive pas à se fondre dans la masse de ses camarades et il hésite quant à qui voter, alors que se déroule la campagne présidentielle 2017. C’est au contact de cette femme qu’il va pouvoir s’ouvrir.
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Laura Herrero Garvin, 2018
À chaque entraînement, Melissa doit supporter la violence d’une société machiste qui punit les femmes qui ne restent pas à leur place. Dans la rue comme sur le ring, elle est assaillie de remarques désobligeantes. Mais ce n’est pas ça qui va l’arrêter.
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Jonathan Millet, 2017
Simon s’enfonce dans les tréfonds de la ville, là où la lumière du jour n’est plus. Il doit retrouver rapidement celui qu’il cherche. Un Camer sans-papiers, comme lui.
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Thomas Horat, Corina Schwingruber Ilić, 2017
Tous les quatre ans, en hiver, sur les bords du lac d’Ägeri, dans le canton de Zoug en Suisse, a lieu pendant 3 mois l’abattage du bois sur un terrain forestier escarpé. Et, tradition oblige, il est assemblé en radeaux pour être acheminé. Ni la technologie ni le progrès ne sont parvenus à menacer la pérennité de ce travail manuel.
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Bruno Pieretti, 2016
Dans le camp de réfugiés de Zaatari, on attend que se termine cette guerre syrienne qui n’en finit plus. Parmi les exilés, une communauté s’est reformée : celle des Kachach, éleveurs d’oiseaux culturellement méprisés, qui vont faire revivre une tradition millénaire délaissée.
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Jérémie Reichenbach, 2016
Le film dénonce la violence de l’Etat dans les brumes et le froid du campement de Calais. Avec poésie et douceur, il évoque les solidarités existantes, et les voix des migrants se mêlent aux images de la « jungle ».
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Karim Sayad, 2015
Alger, 2015. Adlan et Terroriste « naviguent » dans le quartier du Sacré-Cœur à la recherche de quelques dinars. Entre petits trafics et parking informel, ils attendent le week-end et le match du Mouloudia d’Alger afin de tuer le vide de leur quotidien.
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Tamara Erde, 2014
Rabia est directeur technique du Hamas à Ramallah, il vit avec la peur. Il doit aussi élever son fils qui ne rêve que d’une chose : aller à Eurodisney pour son anniversaire.
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Sébastien Betbeder, 2014
Deux chasseurs inuit arrivent à Paris pour découvrir un monde totalement différent du leur.
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Michael Andrianaly, 2013
Pour nourrir sa famille, Todisoa parcourt chaque jour les 7 km qui séparent son village malgache de Tamatave, 2 sacs de charbon posés sur les épaules. À Vohitrambato, pour le projet d’extraction minière d’Ambatovy, certains comme Todisoa ont été expropriés de leurs terres tandis que d’autres ont été déportés.
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Nassim Amaouche, 2012
En pleine Kabylie, le père de Nassim Amaouche creuse dans les ruines de sa maison bombardée en 1957. À la recherche d’une enfance oubliée, ou d’une nouvelle histoire à écrire entre les deux hommes.
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Deborah Gardner-Paterson, 2008
Un groupe d’étudiants rwandais a été attaqué après le génocide. On leur a demandé de se séparer entre Hutu et Tutsi. Ils ont refusé. Voici leur histoire.
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Jens Assur, 2006
Comme beaucoup de petits garçons, David est fasciné par la guerre. Il fait des maquettes en plastique de véhicules militaires et des jeux de guerre avec ses amis. À l’âge de 24 ans, il devient photographe de guerre et part au Rwanda.
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Davina Pardo, 2005
L’histoire poignante de Claire Wihogora, une survivante du génocide rwandais aujourd’hui installée au Canada. Elle parle du génocide et évoque sa difficulté à vivre au quotidien avec le poids du souvenir.
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Michel Andrieu, 1968
Premier film réalisé au cœur des événements, « Ce n’est qu’un début » témoigne avec énergie de la première « nuit des barricades » au Quartier Latin et tente de relayer, dans l’instant, l’intensité et l’originalité du mouvement naissant de mai 68.