Ciné Tamaris

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Films dans la base

Quelques veuves de Noirmoitier

Agnès Varda, 2004

Des vieilles femmes au visage creusé par le sel racontent des bribes de leur vie d’autrefois, passée le plus souvent en l’absence de leur mari parti à la pêche.

Ydessa, Les ours et etc…

Agnès Varda, 2004

Une collectionneuse – commissaire d’exposition – artisteet ses Teddy Bears mêlés à l’Histoire…

Lion volatil (Le)

Agnès Varda, 2003

Courte aventure entre 3 personnages : Clarisse, apprentie-voyante, Lazare, employé aux Catacombes de Paris et le Lion de Belfort, en bronze.

Deux ans après

Agnès Varda, 2002

Ce qui est arrivé après la sortie du film ‘Les glaneurs et la glaneuse’…

Glaneurs et la glaneuse (Les)

Agnès Varda, 2000

Agnès Varda rencontre ceux qui, pour vivre, ramassent ou récupèrent les «  restes  » des autres : déchets de fin de marchés, objets abandonnés sur les trottoirs…Ceux qu’elle appelle les glaneurs de notre temps.

Univers de Jacques Demy (L’)

Agnès Varda, 1995

A la rencontre de Jacques Demy… pour donner envie de voir ou revoir ses films

Cent et une nuits (Les)

Agnès Varda, 1994

Monsieur Cinéma est presque centenaire. Ex-acteur, producteur et réalisateur, il croit être le cinéma à lui tout seul et vit dans un château-musée avec son majordome, Firmin.

Les demoiselles ont eu 25 ans

Agnès Varda, 1992

En 1992, la Ville a fait une grande fête pour célébrer les 25 ans des Demoiselles. Le souvenir du bonheur, c’est peut-être encore du bonheur.

Jacquot de Nantes

Agnès Varda, 1991

Il était une fois un garçon élevé dans un garage où tout le monde aimait chanter. C’était en 1939, il avait 8 ans. Puis il a voulu faire du cinéma mais son père lui a fait étudier la mécanique. C’est de Jacques DEMY qu’il s’ agit et de ses souvenirs.

T’as de beaux escaliers, tu sais !

Agnès Varda, 1986

Comment, en 150 secondes, rendre hommage à la Cinémathèque Française l’année de ses 50 ans, sinon en filmant les 50 marches qui montent vers le Musée du cinéma et descendent vers la salle obscure où sont projetés des chefs d’œuvres aux escaliers célèbres !

Jane B. par Agnès V.

Agnès Varda, 1985

Le film est un portrait-en-cinéma où l’on découvre Jane Birkin sous toutes ses formes, dans tous ses états et en plusieurs saisons, elle-même en sa diversité et aussi d’autres Jane…

Dîtes cariatides (Les)

Agnès Varda, 1984

L’inventaire par Agnès des femmes en pierre qui soutiennent, nues, des portes et des balcons à Paris.

7 P., Cuis. S.de B…(à saisir)

Agnès Varda, 1984

Quand on propose des images qui excitent l’imaginaire du spectateur.

Minute pour une image (Une)

Agnès Varda, 1983

Une minute de commentaire dite par une voix anonyme pour chaque photographie.

Chambre en ville (Une)

Jacques Demy, 1982

Sur fond de grèves et de conflits sociaux, à Nantes, François, un ouvrier en lutte, et Edith, une fille d’aristocrate, mal mariée à un bourgeois, s’aiment éperdument sous l’œil désabusé et impuissant de la veuve d’un colonel, mère d’Edith, chez qui François a pris la chambre en ville du titre.

Ulysse

Agnès Varda, 1982

En flirtant avec la mémoire, on tombe sur des os…

Documenteur

Agnès Varda, 1981

L’autre côté de Los Angeles sans soleil ni glamour, à travers l’histoire d’une femme exilée.

Mur, murs

Agnès Varda, 1980

Documentaire sur les murals, les murs peints à Los Angeles. Qui les peint ? Qui les paie ? Qui les regarde ? Comment cette ville se révèle – avec ses habitants – par ses murs murmurants.

Réponses de femmes

Agnès Varda, 1977

Des femmes prennent successivement la parole pour dénoncer le conditionnement que leur impose dès l’enfance une société machiste et revendiquent le droit d’exister en tant qu’individus à part entière. Un ciné-tract représentatif de la vigueur de la revendication féministe dans les années 1970.

Plaisir d’amour en Iran

Agnès Varda, 1976

Ce court-métrage est une variation sur les émois amoureux de Pomme et Ali Darius.

Daguerréotypes

Agnès Varda, 1975

A travers leurs témoignages, la vie de quelques commerçants de la rue Daguerre à Paris.

Lion’s love

Agnès Varda, 1969

Trois acteurs - Viva, Jim, Jerry sur le chemin de la « staricité » et sur celui non moins difficile de la maturité vivent dans une maison louée sur une colline de Hollywood. Ils ont tous les trois des crinières de lion.

Black Panthers

Agnès Varda, 1968

En 1968, les Black Panthers d’Oakland font des rallyes d’information sur le procès politique d’un de leurs leaders, Huey Newton, afin d’attirer l’attention des Américains et de mobiliser les consciences noires.

Oncle Yanco

Agnès Varda, 1967

C’est un portrait- reportage du peintre Jean Varda, mon oncle. Dans les faubourgs aquatiques de San Fransisco, centre intellectuel et cœur de la bohème, il navigue à la voile latine et peint des villes célestes et byzantines, car il est grec.

Créatures (Les)

Agnès Varda, 1965

Ce film raconte une double histoire : la vie d’un couple et la naissance d’un roman. La vie comme un jeu d’échecs dans un conte sans fées.

Elsa la rose

Agnès Varda, 1965

Un couple de légende dans le Montparnasse des années folles.

Bonheur (Le)

Agnès Varda, 1964

Un menuisier aime sa femme, ses enfants et la nature. Ensuite il rencontre une autre femme, une postière, qui ajoute du bonheur à son bonheur.

Parapluies de Cherbourg (les)

Jacques Demy, 1963

À Cherbourg, la guerre d’Algérie sépare deux jeunes amants qui se sont déclaré un amour éternel.

Salut les cubains

Agnès Varda, 1963

Agnès Varda rapporte de Cuba mille huit cents photos en noir et blanc, images prises quatre ans après l’arrivée au pouvoir de Fidel Castro. Elle les filme en rythme et les commente, portant ainsi à l’écran un fulgurant kaléidoscope résonnant au son des espoirs de la révolution et des percussions.

Cléo de 5 à 7

Agnès Varda, 1961

Cléo, belle et chanteuse, attend les résultats d’une analyse médicale. Cléo vit quatre-vingt-dix minutes particulières. Son amant, son musicien, une amie puis un soldat lui ouvrent les yeux sur le monde.

Fiancés du pont Mac donald (Les)

Agnès Varda, 1961

Un jeune homme voit la vie en noir quand il porte des lunettes noires. Il lui suffit de les ôter pour que les choses s’arrangent

Du côté de la côte

Agnès Varda, 1958

La Côte d’Azur vue en couleurs par Agnès Varda, qui cultive le mot d’auteur et l’image insolite. Film de commande transformé en un essai sur le tourisme, non sans un certain humour.

Opera mouffe (L’)

Agnès Varda, 1958

Carnet de notes d’une femme enceinte sur la rue Mouffetard (5e) et son marché. L’Opéra-mouffe nous donne un aperçu de ce qu’était le Paris des années 50, plein de misère, de mort et de vie.

Pointe courte

Agnès Varda, 1954

Un couple sur le point de se séparer, se questionne dans les lieux que la femme découvre, là où l’homme a été élevé, un petit village de pêcheurs près de Sète, La Pointe Courte.

Kung-Fu Master

Agnès Varda

Au cours d’un printemps pluvieux, une femme de presque 40 ans, Mary-Jane, tombe amoureuse ou plutôt glisse amoureuse d’un garçon de presque 15 ans, Julien, camarade de classe de sa fille Lucy. Mystères des attirances, des désirs et des timidités, errances et erreurs du cœur…