Office National pour le Commerce et l’Industrie Cinématographique (ONCIC)

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L’Office National pour le Commerce et l’Industrie Cinématographique (ONCIC) a été créé en 1967 en Algérie et a produit et distribué des films dans le pays jusqu’à sa dissolution en 1984.

Films dans la base

  • Laisse béton

    Serge Le Péron, 1983

    Près de Tunnel de la Porte Pouchet qui leur sert de planque vivent Brian et Nourredine, deux gamins de treize ans, doux rêveurs paumés dans leur banlieue ouvrière

  • Bête lumineuse (La)

    Pierre Perreault, 1982

    Dans un « campe » de bois rond des environs de Maniwaki, au Québec, des citadins frais habillés en chasseurs opèrent le grand retour à la nature. Enfin, c’est l’heure de la chasse à l’orignal !

  • Opium et le bâton (L’)

    Ahmed Rachedi, 1977

    Dans un village de montagne en Kabylie, pendant la guerre d’Algérie, la majorité de la population a rallié le mouvement indépendantiste du FLN. Les Français décident de le rayer de la carte.

  • Omar Gatlato

    Merzak Allouache, 1976

    La vie un peu étriquée de quelques jeunes Algérois : Omar son copain Moh et les autres. Leurs illusions, leur ennui, leur travail nonchalant dans une administration.

  • Zone interdite

    Ahmed Lallem, 1973

    Le film observe le ferment de la révolte et l’apparition des premiers militants nationalistes dans un village algérien à la veille de la guerre d’indépendance.

  • Décembre

    Mohammed Lakhdar-Hamina, 1972

    La guerre de Libération nationale. L’Algérie se retrouve à la veille d’importants événements politiques. La question algérienne va être portée à l’ordre du jour des Nations Unies et de grandes manifestations populaires vont avoir lieu. L’histoire se déroule dans les services d’interrogatoire des parachutistes aux mains desquels se trouve un responsable du FLN. La trame va s’articuler entre la recherche des aveux de ce responsable et les problèmes de conscience d’un officier de parachutiste avec, pour toile de fond, la question : « La fin justifie-t-elle les moyens ? ».

  • Charbonnier (Le)

    Mohamed Bouamari, 1972

    Un charbonnier, ancien maquisard, perd son emploi et quitte la campagne pour trouver du travail en ville. Rejeté partout, il réalise combien la guerre a brisé des solidarités profondes. Même au sein de son foyer, la transition s’avère difficile, sa femme ayant des velléités d’indépendance.

  • Festival panafricain d’Alger (Le)

    William Klein, 1972

    Documentaire sur le festival culturel panafricain à Alger en 1969.

  • Elise ou la vraie vie

    Michel Drach, 1969

    Une jeune Bordelaise rejoint son frère à Paris où elle trouve un emploi dans la même usine d’automobiles que lui. Là, elle découvre les conditions de travail des ouvriers ; l’amour d’Arezki, un Algérien qui travaille avec elle à la chaîne et se révolte contre le racisme haineux qui divise alors les Français et les Algériens…

  • Aube des damnées (L’)

    Ahmed Rachedi, 1965

    L’une des premières grandes réalisations algériennes. Ce film est un montage d’images d’archives sur l’histoire de la colonisation en Afrique et sur les luttes de Libération.