Les Films de la pléiade

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Films dans la base

Un lion nommé l’Américain

Jean Rouch, 1972

Tourné à la frontière du Niger et du Mali, au «  pays de nulle part  », au pays du désert et de la brousse, où vivent les Gaos, chasseurs de lion à l’arc. Les chasseurs Songhay , une caste héréditaire, ont seuls le droit de tuer le lion

Petit à petit

Jean Rouch, 1971

Fable cinématographique racontant les aventures drôles et singulières de Damouré et Lam, deux hommes d’affaires de l’Afrique moderne, à la recherche de leur modèle.

On n’arrête pas le printemps

René Gilson, 1971

Des lycéens gauchistes remettent en cause le système des études et se révoltent contre l’enseignement bourgeois que leur dispensent leurs professeurs.

Erotissimo

Gérard Pirès, 1968

C’est un film sur « l’air du temps » en 68, ou comment Mai 68 a influé sur la libération des mœurs… La femme d’un petit patron sur-occupé s’ennuie ; pour tuer le temps, elle décide de devenir une femme « érotique ».

Direction d’acteur par Jean Renoir (La)

Gisèle Braunberger, 1968

Gisèle Braunberger (qui signe aussi la réalisation) se prête ici à un exercice : celui de la direction d’un acteur par Jean Renoir.

Sixième face du pentagone (La)

Chris Marker, François Reichenbach, 1967

Tournant dans la radicalisation de la lutte aux États-Unis, la Marche sur le Pentagone du 21 octobre 1967 est filmée depuis la préparation dans les locaux de Greenwich Village jusqu’aux affrontements, et la nuit dans les cellules des commissariats de Washington.

Exposition 1900

Marc Allégret, 1966

Présentation de l’Exposition Universelle de Paris en 1900, avec des images d’époque, pour la plupart tournées par les opérateurs des frères Lumière.

Chasse au lion à l’arc (La)

Jean Rouch, 1965

De 1957 à 1964, il suit les chasseurs Gao de la région de Yatakala et le film retrace les épisodes de cette chasse où technique et magie sont intimement liées.

Douceur du village (La)

François Reichenbach, 1964

Loué est le type moyen de gros bourg à la fois centre de communications et centre commercial. L’instituteur du village, véritable chef d’orchestre de l’harmonie municipale, commente les petits évènements de la vie rurale qui dépeignent la vie d’un village au début des années 60.

Paris des photographes (Le)

François Reichenbach, 1962

Des touristes photographient Paris au cours de leur promenade. Une vision de la capitale dans les années soixante, rythmée par un air d’accordéon ou une chanson populaire.

Muriel ou le temps d’un retour

Alain Resnais, 1962

Muriel est un des rares films linéaires de Resnais, sur le poids des souvenirs, du passé, l’angoisse du temps qui passe. Muriel n’étant pas un film sur l’Algérie, mais un film où il en est question comme d’une pensée gênante, Resnais par ce propos subtil échappa à la censure très pointilleuse de l’époque.

Amour existe (L’)

Maurice Pialat, 1962

Aubervilliers, Pantin, Courbevoie, Nanterre…Un itinéraire à travers la banlieue parisienne de la fin des année cinquante.

Temps du ghetto (Le)

Frédéric Rossif, 1961

A Varsovie, vécurent pendant deux ans 600 000 hommes. 500 d’entre eux ont survécu. Tous les autres sont morts. Tout fut brûlé

Chant du styrène (Le)

Alain Resnais, 1957

Sur commande des usines Péchiney, Alain Resnais réalise une enquête poétique sur les origines du plastique. De l’objet fini à la matière première, en passant par les étapes de la fabrication, Le Chant du styrène défait malicieusement le mythe industriel.

Moi, un noir

Jean Rouch, 1957

Jean Rouch demande à quatre Nigériens de mettre en scène leur propre vie. Ils s’installent à Treichville, banlieue d’Abidjan, chef-lieu de la Côte d’Ivoire. Comme nombre de leurs compatriotes, ils sont tentés par les promesses qu’offre la ville… Amère aventure pour ceux qui abandonnent leur village et se heurtent à une civilisation mécanisée.

Mammy water

Jean Rouch, 1956

La pêche et le culte de la mer à Shama (Ghana).

Toute la mémoire du monde

Alain Resnais, 1956

Pour cette découverte de la Bibliothèque nationale, Alain Resnais a choisi de faire systématiquement explorer les lieux par la caméra, dans de grands mouvements lents et amples que la musique de Maurice Jarre soutient d’un ostinato grave et profond.

Maîtres fous (Les)

Jean Rouch, 1955

Tourné en un seul jour, le film montre les pratiques rituelles d’une secte religieuse. Les pratiquants du culte Hauka, des travailleurs des régions du Niger venus à Accra, se réunissent à l’occasion de leur grande cérémonie annuelle.