Paris de Porte d’Aubervilliers

Un film de Payam Maleki Meighani

 2020  France  Documentaire  Prise de vue réelle  27 min  Noir & Blanc  Mode de production : Film d’école  VOSTF (français, anglais)

 Scénario : Payam Maleki Meighani  Image : Payam Maleki Meighani  Son : Payam Maleki Meighani  Montage : Payam Maleki Meighani

Producteur :

Pour une projection non commerciale du film, consulter la page sur les diffuseurs spécialisés

Dernière mise à jour : 28 janvier 2021

La vie des réfugiés dans un campement au Nord de Paris.

L’avis de Tënk

Il y a les beaux documentaires, écrits, réfléchis, travaillés sur des années. Et il y a ce type de film : direct et vif. Dur, aussi.

Celui-ci l’est à double titre : parce que certaines images sont violentes, difficilement supportables, et parce que c’est un film impur, entier, mal léché.

Solitaire, aussi. Image, montage, son, confrontation : le réalisateur est seul. Une caméra à la place des yeux, et qui veut tout enregistrer.

Entre deux séquences en couleurs (l’une, mordante, d’accordéon et de Tour Eiffel, avec des cousins du Ratatouille de Disney ; l’autre, horrible, de flammes, de détresse et de mort), le noir et blanc est sa manière de vivre le monde.

Une manière que « La Jungle de Dunkerque », qu’il a réalisé après celui-ci, déploie sur plus de 3 heures, pour pénétrer plus avant à travers les « couches » vers le « cœur de la réalité » des réfugiés.

Jimmy Deniziot, Pré-sélectionneur pour les États généraux du film documentaire - Lussas

Tënk

Le film dans la Base cinéma & société

Chemins d’accès :
Liberté, égalité, fraternité ?
Que chacun·e devienne « l’obligé·e du monde »
Sans-papiers in Que chacun·e devienne « l’obligé·e du monde »
Migrations in Que chacun·e devienne « l’obligé·e du monde »
Dans la sélection filmographique :
Filmer Calais