GREC (Groupe de recherche et d’essais cinématographiques)

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Films dans la base

  • Sinto a tua falta

    Lucas Roxo, 2016

    En février 1971, Léonor quitte le Portugal pour s’installer en France. Sa fille ne la rejoindra qu’au bout de quatre mois. Quarante ans plus tard, nous retraçons le chemin de l’exil pour ausculter la distance créée par le passage de la frontière. En réécrivant les lettres jamais prononcées, en revenant sur les lieux de l’époque, un nouveau mouvement s’enclenche.

  • António, Lindo António

    Ana Maria Gomes, 2015

    Une enquête filmique sur l’oncle de la réalisatrice, parti au Brésil il y a cinquante ans. Cet exilé portugais a laissé derrière lui une vie de berger pour s’installer à Rio de Janeiro. Au fil des ans, il a répété à sa mère qu’il reviendrait… mais un demi-siècle plus tard, elle l’attend toujours. Au Portugal, sa famille spécule sur son existence et évoque le souvenir d’un artiste insouciant qui a brûlé la vie par les deux bouts.

  • 10949 femmes

    Nassima Guessoum, 2014

    À Alger, Nassima Hablal, héroïne oubliée de la Révolution algérienne, raconte son histoire de femme dans la guerre, sa lutte pour une Algérie indépendante.

  • Nuit remue (La)

    Bijan Anquetil, 2012

    « La nuit remue » montre ce qui se passe parfois la nuit tombée autour d’un feu de fortune allumé au cœur de nos villes. Un film sur les passagers de nuit de l’Europe. Sur une jeunesse afghane qui se vit dans l’exil et qui, clandestinement, écrit son histoire. Avec des actes, des mots et des téléphones portables.

  • Eau salée (‘L)

    Nelly Girardeau, 2011

    Le langage de la navigation dit la place que l’on tient et le lieu précis où l’on se trouve dans un monde mouvant et instable. Au lycée maritime de La Rochelle, les adolescents apprennent les gestes et s’imaginent un avenir possible. Face à la mer immense, ils vont grandir.

  • 5-7 rue Corbeau

    Thomas Pendzel, 2007

    Petit bout de la lorgnette, le « 5-7 rue Corbeau » permet de voir loin et large, il fournit la matière d’une réflexion plus générale sur la ville, l’habitat, l’exil, et sur la possibilité de faire d’un film un lieu de mémoire.

  • Lettre du dernier étage

    Olivier Ciechelski, 2004

    Un femme âgée décrit dans une lettre tout ce qu’elle voit de sa fenêtre…

  • Choses rouges (Les)

    Arnaud des Pallières, 1994

    Un ouvrier rentre de l’usine, sur sa mobylette, à travers la banlieue-est de Paris. En pensée, il dresse le musée imaginaire des choses rouges. «  Il avait l’air d’un rescapé, d’un clochard des insurrections éternelles, et il bougonnait «  Communisme  ! Communisme  !” d’une façon inoubliable.”

  • Nationalité immigré

    Sidney Sokhona, 1975

    Mêlant documentaire et fiction, ce film, dans lequel le réalisateur joue le rôle principal, montre comment, aux prises avec le racisme et l’exploitation économique, les travailleurs immigrés se concertent et s’organisent.

  • 46 jours qui précédèrent la mort de Françoise Guiniou (Les)

    Christian Boltanski, 1971

    En adoptant la forme du faux documentaire de reconstitution, ce film traite d’un fait divers tragique : les derniers jours d’une jeune femme menacée d’expropriation qui décide de se cloîtrer dans son appartement avec ses deux enfants, jusqu’à ce que mort s’ensuive.