Sylvain George
Films dans la base
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Le film a été tourné en 2012 en Espagne, autour du mouvement des indignés : il témoigne de l’ébullition d’un peuple qui retrouve la parole, des tentatives passionnées et patientes d’inventer de nouvelles manières de vivre ensemble, et de l’extraordinaire beauté des rassemblements solidaires.
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Éclats. Ma gueule, ma révolte, mon nom (Les)
Éclats de voix, éclats de rire, éclats de rage ; bribes de mots, d’images et de mémoire ; paroles du proche et du lointain, d’hier et d’aujourd’hui, d’Afrique, Moyen-Orient, Europe ; maladies disparues, mains de métal, souffle du vent, geste du soleil au couchant, reflets rouge-sang ; rafles policières, cortèges guerriers, cour d’injustice… Pour une cartographie de la violence infligée aux personnes migrantes, de la répétition de la geste coloniale, et du caractère inacceptable du « monde comme il va ».
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Qu’ils reposent en révolte (Des figures de guerre)
Ce documentaire traite sur une durée de trois ans (2007-2010), de la situation des personnes migrantes à Calais.
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Impossible - Pages arrachées (L’)
Placé sous les auspices de Rimbaud, Lautréamont, Dostoïevski et Benjamin, ce film s’attache à témoigner des politiques iniques qui façonnent notre temps, du caractère « infernal » de certaines vies politiques (celles des migrants/des immigrés, des travailleurs, des chômeurs, des étudiants…).
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No border - Aspettavo che scendesse la sera
Paris du point de vue des réfugiés qui y survivent, ville désolée, ville funèbre, « pestilent city »