Festival du Film de Vendôme

Vendôme – décembre

http://www.vendome-filmfest.com

 Le Minotaure  Rue César de Vendôme  41100 Vendôme

Le Festival du film de Vendôme est le premier rendez-vous européen consacré aux œuvres cinématographiques soutenues par les collectivités territoriales.Il met en lumière la jeune création cinématographique contemporaine, notamment à travers le court métrage.

Éclectique, dynamique et riche, la programmation du festival se place sous le signe de l’émergence et de la découverte d’un jeune cinéma européen créatif et novateur en invitant de jeunes réalisateurs à venir présenter leurs films. Fiction, documentaire, animation, art vidéo, tous ces genres sont au rendez-vous à travers de multiples parcours. Le Festival du film de Vendôme choisit également d’explorer de nouvelles voies artistiques, de montrer le cinéma en dialogue avec d’autres arts, par le biais de partenariats avec des structures culturelles, locales, régionales ou nationales.

Le Festival s’attache aussi à créer l’opportunité de rencontres entre publics et les cinéastes, mais aussi avec des professionnels du cinéma. Une manifestation telle que celle-ci se définit par la volonté de sortir du flux des sorties cinématographiques hebdomadaires, de révéler des films rares et inédits, et de proposer des moments d’échanges, de réflexion et surtout de convivialité autour des œuvres, en compagnie de leurs créateurs, de critiques… Le Festival est une invitation des spectateurs à la curiosité et à la rencontre.

(source : site Internet du festival)

Films dans la base

  • Règles du jeu (Les)

    Claudine Bories, Patrice Chagnard, 2014

    Le documentaire suit pendant six mois plusieurs jeunes de vingt ans, sans diplôme et à la recherche d’un emploi. Il sont suivis par des coachs d’un cabinet de placement qui leur enseignent le comportement et le langage qu’il faut avoir aujourd’hui pour décrocher un emploi.

  • Examen d’État

    Dieudo Hamadi, 2014

    À Kisangani, un groupe de lycéens qui n’ont pas les moyens de s’acquitter de la «  prime des professeurs  » s’organise pour préparer ensemble l’examen d’État. Ce documentaire suit ce groupe, et mêle désaffection pour la vénérable institution et nécessité pour les adolescents de décrocher malgré tout le baccalauréat congolais, dit «  examen d’État  ».

  • À ciel ouvert

    Mariana Otero, 2013

    À la frontière franco-belge, existe un lieu hors du commun qui prend en charge ces enfants psychiquement et socialement en difficulté. Jour après jour, les adultes essaient de comprendre l’énigme que représente chacun d’eux et inventent, au cas par cas, sans jamais rien leur imposer, des solutions qui les aideront à vivre apaisés. Au fil de leurs histoires, ce documentaire nous ouvre à leur vision singulière du monde.

  • Dossier 332 (Le)

    Noëlle Pujol, 2012

    L’histoire du Dossier 332 est construite à partir de documents issus du dossier d’archives personnelles de la réalisatrice à la DDASS. Ces documents révèlent la description de vies qui se jouent en quelques phrases, mais également l’histoire d’une écriture qui se donne à entendre : le portrait d’une bureaucratie constitutive de l’État contemporain.

  • Le Havre

    Aki Kaurismäki, 2011

    Marcel Marx est cireur de chaussures au Havre. Le jour où un jeune garçon africain arrive clandestinement en cargo, Marx décide de le protéger et le cacher.

  • Éte de Giacomo (L’)

    Alessandro Comodin, 2011

    C’est l’été dans la campagne du nord de l’Italie. Giacomo, un adolescent sourd, part au fleuve avec Stefania, sa meilleure amie. En s’éloignant des sentiers battus, ils se perdent et arrivent dans un endroit paradisiaque où ils se retrouvent seuls et libres. Ils ont 16 et 18 ans, leurs sens s’éveillent.

  • Entrée du personnel

    Manuela Frésil, 2011

    Ce film raconte le destin commun des ouvriers de la viande des grands abattoirs industriels. Manuela Frésil s’est introduite au cœur d’une dizaine d’abattoirs industriels français, du petit matin à la sortie d’usine, au côté d’ouvriers à la chaîne…

  • Sur la planche

    Leïla Kilani, 2011

    La «  Planche  » du titre est multiple, elle est tremplin, plongeoir ou planche à requins. C’est l’histoire d’une fraternité en danger, l’histoire d’un quatuor : celle de quatre filles en course, faite d’amour, de choix, de destins fracassés. Elles sont les personnages d’un film noir sous les auspices conflictuels du rêve du mondialisme.

  • Ce n’est qu’un début

    Pierre Barougier, Jean-Pierre Pozzi, 2010

    Ils s’appellent Azouaou, Abderhamène, Louise, Shana, Kyria ou Yanis, ils ont entre 3 ans et 4 ans quand ils commencent à discuter librement et tous ensemble de l’amour, la liberté, l’autorité, la différence, l’intelligence…

  • Nous, princesses de Clèves

    Régis Sauder, 2010

    Aujourd’hui, à Marseille, des élèves du Lycée Diderot s’emparent de La Princesse de Clèves pour parler d’eux-mêmes. À 17 ans, on aime intensément, on dissimule, on avoue. C’est l’âge des premiers choix et des premiers renoncements.

  • Entre nos mains

    Mariana Otero, 2010

    Pour sauver leur emploi, des femmes décident de reprendre le pouvoir dans leur entreprise de lingerie en créant une coopérative. Au gré des épreuves et des rebondissements, elles découvrent avec bonheur et humour la force du collectif, de la solidarité et une nouvelle liberté.

  • Voir ce que devient l’ombre

    Matthieu Chatellier, 2010

    Filmé en 2008-2009, le documentaire dévoile le travail de création de Cécile Reims et Fred Deux, jusqu’à la transmission de leurs œuvres aux institutions publiques. À plus de quatre-vingts ans, Fred Deux et Cécile Reims nous livrent une pensée moderne, audacieuse et sans compromis sur le XXe siècle, sur le rôle de la création et sur la vie.

  • 200 000 fantômes

    Jean-Gabriel Périot, 2007

    Parce que Jean-Gabriel Périot sait très bien qu’entre l’horreur et la façon de la représenter, il existe un gouffre immense, cet humaniste convaincu a voulu témoigner à sa façon de la plus grande catastrophe nucléaire que le monde a connue et raviver ainsi les flammes d’un souvenir honteux. «  Nijuman no borei  » rappelle avec une originalité remarquable la nuit du 6 août 1945, celle qui a vu la destruction d’Hiroshima.

  • Histoire d’un secret

    Mariana Otero, 2003

    Après 25 ans de silence, le père de la réalisatrice Mariana Otéro lui révéla, à elle et à sa soeur, les véritables circonstances du décès de leur mère, artiste-peintre.

  • Loi du collège (La)

    Mariana Otero, 1994

    Chaque jour de l’année scolaire 1992-1993, Mariana Otero a filmé les élèves d’un collège implanté au cœur d’une cité en banlieue parisienne