Mario Ruspoli
Films dans la base
« Chaque baleine qui meurt nous lègue, comme une prophétie, l’image de notre propre mort. » Chris Marker
La radiotélévision française se met à l’heure des techniques du cinéma direct avec Mario Ruspoli qui entraîne avec lui, en 1962, des techniciens les futurs grands opérateurs et ingénieurs du son.
Cratères, causses, cavernes. La Lozère : le plus réussi des pays désolés, admirable en carte postale, comme tous les enfers refroidis. Sur cette terre vaine, peuplée mais pas habitée, une poignée d’hommes s’est accroché.

En 1960, Mario Ruspoli décide de tourner un documentaire sur l’hôpital psychiatrique de St Alban en Lozère. Pari courageux, à une époque où la folie est un sujet tabou, totalement occulté par la société.
Un film sur les derniers pêcheurs de baleine au harpon, une pratique que l’on pensait alors révolue depuis longtemps.