Rémy Ricordeau

Après une brève scolarité, Rémy Ricordeau vit de divers travaux précaires entrecoupés de périodes de chômage. Attiré par le large, il s’engage sur le tard dans des études de chinois qui l’amèneront à vivre quelques années entre Taiwan et la Chine. Depuis son retour en 2005, il se consacre à la réalisation de films documentaires : Putain d’usine (2006), Les Sentiers de l’infortune (2008), Les Anges de la piste (2008), Bricoleurs de Paradis (2010), Je ne mange pas de ce pain là (2012).

Films dans la base